Des nouvelles toitures pour le Prieuré, suite
Le 17 octobre se tient la réunion de chantier avec l’architecte Jacques de Welle et le responsable des travaux Michel Contini. Pluie et fort vent mettent au chômage technique les couvreurs.
Le 24 octobre, malgré de fortes intempéries (pluies et vents fréquents) le chantier a bien avancé :
Les toitures du refuge-monastère, du cloître et du local Elzéar sont achevées, ne restent que des points d’étanchéité à finaliser.
La première couche de tuiles neuves, face concave vers le haut, est en cours d’installation sur le toit de la chapelle. Les tuiles, arrivées sur le toit grâce au petit monte-charge, sont déposées en petits tas réguliers à disposition des couvreurs.
Des points de colle sont injectés sur les liteaux, chaque tuile y est soigneusement fixée.
Petite éclaircie pour photographier une vue partielle des toitures :
Le 28 octobre, les couvertures en tuiles du monastère refuge, du local Elzéar et du cloître sont complètement achevées depuis quelques jours :
La première couche de tuiles neuves, de gouttière, est bientôt achevée. Les couvreurs commencent à poser la deuxième couche de tuiles de couvert (anciennes) sur le versant nord du toit de la chapelle.
Pour quelques jours, 6 couvreurs sont à l’œuvre, 5 sur le toit et un autre pour alimenter ou vider le monte-charge.
Cette vue montre aussi la partie nord du monastère-refuge.
Le 31 octobre, la totalité du versant nord du toit de la chapelle est achevée, les tuiles faitières ont été cimentées, les couvreurs posent les tuiles de couvert, à l’aide de crochets, sur le versant sud.
Marc Dufleid et Michel Contini de l’entreprise KFCE se concertent pendant une réunion de chantier informelle. Michel et Roger utilisent la plieuse pour préparer les pièces de tôle qui serviront à réaliser les solins de la cheminée du Logis et les bordures des pignons de la toiture.
Le 7 novembre les toitures sont presqu’achevées, mais l’esplanade est toujours encombrée !
Le 2 décembre, une météo enfin clémente permet les héliportages pour évacuer le matériel de chantier. Nous en profitons aussi pour nous débarrasser de matériel hors d’usage ou obsolètes.