Paul Cézanne écrivait à Joachim Gasquet : "Regardez cette Sainte-Victoire, quel élan ! Quelle soif impérieuse de soleil ! Et quelle mélancolie, le soir quand toute cette pesanteur retombe !
Ces blocs étaient du feu... Il y a encore du feu en eux..."
Jacqueline de Romilly écrivait :
"Cézanne a peint indéfiniment la masse claire de la montagne, comme une apparition, comme un but, comme une fin vers laquelle tout converge.
C'est le miracle de Sainte-Victoire que cette luminosité de pur rocher et cette façon qu'elle a de se détacher, précise et légère, au-dessus de tout le reste, attirant ainsi le regard".