La réhabilitation du cloître en 2017, suite 2
Le 15 septembre, 46 rotations livrent le matériel nécessaire à la poursuite du chantier de réhabilitation du cloître, voir la vidéo.
La semaine suivante, les menuiseries vitrées du cloître ont été posées par les maçons de l’entreprise SELE : la porte intérieure cintrée, la grande baie en anse de panier, les deux baies latérales cintrées donnant sur la falaise, les 4 anciennes portes donnant sur le monastère-refuge sont équipées de châssis en ferronnerie laquée et de verres clairs armés.
Le 28 septembre, l’appui de la grande baie en anse de panier est en cours de finition, tandis que les bénévoles creusent le terre-plein juste devant, afin de pouvoir y enterrer les gaines électriques provenant du cloître pour aller dans la cave où se situera le nouveau tableau électrique.
La semaine suivante, l’encadrement de la grande baie est achevé, les joints au mortier des menuiseries sont en cours.
Le sol dallé doit être refait partiellement dans la partie nord du cloître. Il faut baisser son niveau de part et d’autre de la porte intérieure vitrée.
Le 12 octobre, le dallage de part et d’autre de la porte intérieure vitrée est achevé, Les maçons entreprennent la charpente de la partie nord du cloître
La semaine suivante, les maçons commencent la charpente de la partie nouvellement reconstruite du cloître.
Les couvreurs débutent l’étanchéité du chéneau le long du refuge en installant des montants de bois sur lesquels le chéneau en tôle sera fixé. La panne sablière et la panne muralière ont été installées, la panne intermédiaire est en cours.
La corniche en pierre de Vers, bordant le toit du cloître à l’est, est achevée. Daniel Arthaud et Alain Goudal y fixent dessus les hampes sur lesquelles seront vissés les supports de la grande gouttière.
Les couvreurs débutent l’étanchéité du chéneau le long du refuge en installant des montants de bois sur lesquels le chéneau en tôle sera fixé. La panne sablière et la panne muralière ont été installées, la panne intermédiaire est en cours.
La corniche en pierre de Vers, bordant le toit du cloître à l’est, est achevée. Daniel Arthaud et Alain Goudal y fixent dessus les hampes sur lesquelles seront vissés les supports de la grande gouttière.
Le 26 octobre, les couvreurs collent et fixent le chéneau en tôle laquée et achèvent la couverture du local Elzear.
Daniel Arthaud règle et fixe les dernières hampes sur la corniche.
Daniel Arthaud règle et fixe les dernières hampes sur la corniche.
La semaine suivante, toute une équipe de bénévoles montent les trois parties de la gouttière depuis la côte 710.
Jean Morbelli, ancien couvreur, dirige les opérations. Il soude les éléments de la gouttière puis, avec Alain Goudal et Jean-Jacques Bernard Bret, il installe les supports, tout en veillant à respecter la pente, matérialisée par un cordon. La gouttière est ensuite installée.
Jean Morbelli, ancien couvreur, dirige les opérations. Il soude les éléments de la gouttière puis, avec Alain Goudal et Jean-Jacques Bernard Bret, il installe les supports, tout en veillant à respecter la pente, matérialisée par un cordon. La gouttière est ensuite installée.
Le 9 novembre, la gouttière du toit du cloître est complètement posée, la couverture du local Elzéar est achevée. L’arase de l’acrotère du refuge est en cours.
La semaine suivante, le toit du cloître est complètement recouvert à présent, reste à étanchéifier les deux parties contre les falaises et à installer les descentes d’eau pluviales.