La citerne, au milieu de l'esplanade, avait été remis en état de fonctionnement dès 1956. Pleine de décombres et de détritus, elle fut vidangée. Une margelle fut construite en 1960.
La citerne en 1955
La citerne en 1955
La citerne en 1968 est munie d'un arceau
La citerne en 1968 est munie d'un arceau
En 1989, une tranchée a été creusée entre la chapelle et le puits. Il fallait en effet remplacer les tuyauteries en terre cuite conduisant les eaux de pluie de la toiture de la chapelle à la citerne. Plusieurs de ces tuyauteries qui avaient été enterrées dans l'esplanade au XVIIe siècle, étaient cassées et ne remplissaient plus leur rôle. 
Jean Cathala et Edmond Decanis à l'ouvrage
Jean Cathala et Edmond Decanis à l'ouvrage

 

Puis une conduite en PVC y a été installée pour récupérer les eaux du toit de la chapelle :

Simone Revalor avec une masse, tandis qu'un regard est installé
Simone Revalor avec une masse, tandis qu'un regard est installé

 

C'est le seul point d'eau du massif de Sainte-Victoire, à utiliser avec modération... elle n'est pas potable cependant.

1985, installation de la première pompe
1985, installation de la première pompe

La pompe dut être réparée, changée, tandis que la citerne fut une fois de plus vidangée.

 

1997, les pompiers du GRIMP sont descendus dans la citerne pour la nettoyer
1997, les pompiers du GRIMP sont descendus dans la citerne pour la nettoyer
Quelques uns des détritus jetés par les visiteurs indélicats dans la citerne
Quelques uns des détritus jetés par les visiteurs indélicats dans la citerne
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