Nous montons par le GR9, chargés de seaux et de nouveaux outils donnés par une amie : qu’il fait déjà chaud malgré l’heure matinale !
Le prieuré se pare de campanules nichées dans les moindres interstices des murs et des falaises, y compris, comme chaque année, sur le clocher !
Le prieuré se pare de campanules nichées dans les moindres interstices des murs et des falaises, y compris, comme chaque année, sur le clocher !
Nous sommes suffisamment nombreux aujourd’hui pour entreprendre un grand chantier de terrassement dans le cloître, tandis que quelques bénévoles s’activent en d’autres lieux, comme vous le montre la vidéo :
A l’ombre, il fait encore assez bon, Charly se met au travail sur la calade, Marie-Danièle prépare des pieds d’iris pour les planter tout le long de la falaise ouest. Claudine et Flo nettoient le refuge, Roger ratisse la calade.
Intense activité dans le cloître, les deux Marc, Jean-Jacques et Yves en vident le sol encombré de tuyaux, de brouettes, de big bags remplis de sable et de graviers. Dans la tranchée, Isabelle dégage les pierres à l’aide d’une barre à mine, Alain H. creuse à la pioche de l’autre côté.
Charly et Marie-Danièle
Le chantier débute dans le cloître
Daniel A. découpe à la disqueuse les parties de l’appentis qui dépassent et gêneraient le chantier de reconstruction du cloître.
Yves, Jean-Jacques et J.K. récupèrent les seaux de terre et de pierres et vont les porter à Jacques. Marc L. ramasse les nombreux débris de tuiles et Marc D., les pierres de Bibémus.
Yves, Jean-Jacques et J.K. récupèrent les seaux de terre et de pierres et vont les porter à Jacques. Marc L. ramasse les nombreux débris de tuiles et Marc D., les pierres de Bibémus.
Yves, isabelle, Jean-Jacques, AlainT., Daniel, Alain H
J.K. attrape un barre de fer que Daniel vient de scier
Alain T. prend la relève d’Alain H. au creusement. Isabelle, infatigable, continue de remplir des seaux ! Il est temps de jeter toutes les pierres (mises auparavant de côté sur le rebord est de la tranchée et menaçant de tomber) sur le sol du cloître.
Jets de pierres…
… qui sont stoppés quand les ” débarrasseurs ” passent
Daniel prend le relais d’Alain dans la tranchée
A présent Isabelle, Claudine et Flo transportent les seaux bien remplis. La tranchée s’est bien allongée, les prochaines fois il faudra creuser plus en profondeur : toutes les bonnes volontés sont les bienvenues pour poursuivre la tâche !
Isabelle apporte des grosses pierres à Jean-Paul M. qui confectionne quelques marches supplémentaires sur le chemin reliant le Prieuré aux toilettes… sous un soleil de plomb.
Isabelle apporte des grosses pierres à Jean-Paul M. qui confectionne quelques marches supplémentaires sur le chemin reliant le Prieuré aux toilettes… sous un soleil de plomb.
Isabelle effectuant des navettes de seaux.
… ou de grosses pierres
Jean-Paul M. réalisant une marche
Jean-Jacques répartit la terre mêlée de cailloux que nous avons déversée à l’intersection de la sortie du Prieuré avec le GR9, devant une marche réalisée par Jean- Paul. Mais il n’est pas encore fatigué ! Et le voici brisant à l’aide d’une masse, les pierres trop lourdes pour être portées !
Jacques a passé sa matinée à descendre les seaux par le balcon du Prieur, puis à transporter des pierres.
Jacques a passé sa matinée à descendre les seaux par le balcon du Prieur, puis à transporter des pierres.
Jean-Jacques ratisse l’intersection…
… et le voici à la masse…
Jacques, nouveau bénévole, avec sa chienne Hima
Il est midi trente, il fait chaud, il fait soif, enfin un bon déjeuner partagé, à l’ombre du cèdre ! Et pour faire honneur à nos deux nouveaux, Isabelle et Jacques, les bénévoles chantent avec une belle intensité ” Se Canto ” pour terminer par” la Coupo Santo “. Les rares visiteurs nous applaudissent.
17 convives heureux d’être ensemble
Hima, Flo, Claudine et Isabelle
Quelques images de ce beau début d’été :
Une grande chenille, 8 à 10 cm
Une grosse araignée au-dessus des toilettes
Un bouquet de campanules à feuilles rondes sur la falaise
La veille, mercredi 22 juin :
Après une réunion du comité directeur, à l’ordre du jour très dense, tenue dans la salle de B. Pezet de Palette, Mathias Magnier, garde nature au Grand Site Sainte-Victoire nous offre une conférence fort intéressante.
Le premier sujet est la riche flore : ce Grand Site de France abrite 1000 espèces de plantes, dont la marguerite de Burnat, la fraxinelle, l’ophrys de Provence qui sont menacées et protégées. A noter que sur le massif, poussent 60 espèces d’orchidées, dont 15 espèces d’ophrys, ces dernières étant toutes protégées.
Vient ensuite la faune du massif, une des plus riches de Provence : amphibiens, reptiles, mammifères, insectes (10 mille espèces dont l’endémique criquet hérisson) et arachnides (dont le dangereux scorpion du Languedoc) , pour terminer par les oiseaux, en insistant sur une espèce emblématique et protégée, l’aigle de Bonelli. Nous pouvons admirer l’action du Grand Site Sainte-Victoire pour étudier et préserver les deux couples précieux (30 couples seulement en France) nichant sur la montagne.
Il est temps pour les membres du comité directeur et leurs conjoint(e)s de nous retrouver au Relais Bleu juste en face, un restaurant accueillant et fort original, fief de notre ami Paul. Nous sommes 40, installés dans diverses tables, dont une située dans une jardin :
Le premier sujet est la riche flore : ce Grand Site de France abrite 1000 espèces de plantes, dont la marguerite de Burnat, la fraxinelle, l’ophrys de Provence qui sont menacées et protégées. A noter que sur le massif, poussent 60 espèces d’orchidées, dont 15 espèces d’ophrys, ces dernières étant toutes protégées.
Vient ensuite la faune du massif, une des plus riches de Provence : amphibiens, reptiles, mammifères, insectes (10 mille espèces dont l’endémique criquet hérisson) et arachnides (dont le dangereux scorpion du Languedoc) , pour terminer par les oiseaux, en insistant sur une espèce emblématique et protégée, l’aigle de Bonelli. Nous pouvons admirer l’action du Grand Site Sainte-Victoire pour étudier et préserver les deux couples précieux (30 couples seulement en France) nichant sur la montagne.
Il est temps pour les membres du comité directeur et leurs conjoint(e)s de nous retrouver au Relais Bleu juste en face, un restaurant accueillant et fort original, fief de notre ami Paul. Nous sommes 40, installés dans diverses tables, dont une située dans une jardin :
A l’intérieur de la salle, joyeuse animation aussi :
Mathias Magnier est parmi nous, à droite sur la photo :
A la fin d’un bon et copieux repas, jean- Paul E. dirige les Chanteurs de Sainte-Victoire et tous les participants, pour un répertoire de chansons provençales. L’ambiance est chaleureuse !
Geneviève, en bonne organisatrice, avait commandé un grand gâteau pour fêter les anniversaires des bénévoles nés au mois de juin. Ils sont nombreux : Paul, Alain H., Sauveur, Guy, Annie-Claude, Claudine et Albert (absent de la photo)
La photo est hélas floue !
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