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Au milieu de la montée par le chemin des Venturiers, nous pouvons admirer la pelleteuse et le broyeur en pleine action.
Ici la pelleteuse creuse un revers d’eau :

Et là, le broyeur casse les grosses pierres qui sont mélangées à la terre, lisse les chemins.

Sur la vidéo, on peut voir la pelleteuse élargissant le chemin (l’ouvrier mesure sa largeur) ,
creusant un revers d’eau puis grattant le sol pour en arracher les grosses pierres et faire remonter la terre.
En aval, le broyeur casse les pierres et ça fume. Derrière lui, le sol est meuble, bien lisse.

Il faut beaucoup de dextérité aux conducteurs pour piloter ces engins sur un terrain aussi étroit et accidenté !

Au début de la montée, le sol a été damé, lissé et la progression est facile.

Ici le chemin a été  creusé, permettant ainsi l' écoulement des eaux pluviales vers le guet.

Ici le chemin a été creusé, permettant ainsi l’ écoulement des eaux pluviales vers le guet.
A droite du revers d'eau, un grand pin a dû être abattu.

A droite du revers d’eau, un grand pin a dû être abattu.
Ici le chemin a été élargi en taillant dans les rochers

Ici le chemin a été élargi en taillant dans les rochers
La haute marche a été comblée.

La haute marche a été comblée.

Les revers d’eau sont très nombreux et bien pentus, il y en a environ tous les 20 mètres par endroits. On remarque parfois une bande orange à leur emplacement.

Dans cette zone, la pelleteuse est passée, mais pas encore le broyeur : pas facile de marcher sur ce terrain meuble, cabossé, que les récentes pluies ont transformé en gadoue !

Sur le haut de la piste élargie à 4 m par le débroussaillage, la pelleteuse n’est pas encore passée : des rochers à écrêter, des trous à combler.

A la côte 710 où la piste s’arrête, c’est un festival de couleur ! Le sentier serpente entre les amélanchiers roux, les alisiers jaunes et les érables de Montpellier flamboyants.

Encore quelques lacets pour atteindre le Prieuré !

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