Nous le photographions sous tous les angles. Ce pont enjambant la Cause, a peut-être servi à conduire les attelages transportant les matériaux pour la construction du Prieuré :
En 2010, Marc L. l’avait déjà photographié quand le niveau d’eau était aussi très bas. Il n’a guère changé ! Peut-être un peu plus d’alluvions autour…
Nous quittons les rives de la retenue d’eau pour grimper vers les Costes chaudes par un itinéraire que nous avions emprunté avec des ânes, il y a moins de deux ans.
Nous arrivons bien tard au Prieuré ! Les bénévoles présents beaucoup plus tôt n’ont pas chômé :
le ménage du refuge est terminé, la crèche a été démontée, un gros tas de pierres gênant l’achèvement de la calade a été partiellement déménagé. Alain G. et Marc D ont dû s’occuper d’une délicate mission : récupérer le moteur en panne, de la ventilation des toilettes.
Gérard et Patrice fendent des rondins, Jean-Paul E. fend des bûches, Daniel prépare la fixation de la barrière qui protègera l’accès à la cave.
Par ce mistral glacial, pas question de travailler sur les fenêtres de la face Nord de la chapelle, les travaux d’intérieurs sont privilégiés : bricolage pour Daniel et Sauveur dans la cave, ponçage des anciens bancs de la chapelle pour Alain H. , réunion de travail au logis aussi !
Nous rencontrons Nicole, ancienne éclaireuse de France qui a participé, toute jeune, au nettoyage du Monastère avant sa reconstruction, c’est à dire avant 1965 ! Il fallait retirer pierres, gravats et ronces à l’aide de couffins. Elle pose avec Marc Roussel qui a beaucoup participé, peu de temps après, à cette reconstruction.
Sur cette petite vidéo , Piou-Piou est venu se réfugier au Prieuré, pourvu qu’il y élise domicile !
Cliquez sur l’image ci-dessous et réglez sur “HD” :
Petit retour en arrière, dimanche 31 janvier :
Des randonneurs de l’AEP, guidés par Yves Richard, après une montée par le chemin des Plaideurs, un long cheminement sur les crêtes brumeuses et venteuses, sont venus se restaurer au Prieuré. Ils ont été très bien accueillis par Jean-Jacques et Patrice, bénévoles de permanence. Grâce à eux, nous avons pu pique-niquer au chaud, merci !
Jean- Jacques et Patrice ont été très sollicités, le mauvais temps n’ayant pas découragé les visiteurs.