Les travaux de sécurisation des falaises surplombant le Prieuré se poursuivent. Tous les trous ont été forés et équipés les jours précédents d’une barre d’ancrage, couplée à une canule d’injection (le tout emmailloté dans une chaussette). Ce matin, les équipiers de Alteam scellent les ancrages au moyen de coulis de ciment, comme le résume brièvement la vidéo :
Olivier, chef d’équipe, scelle les 4 premières barres d’ancrage, situées près de l’amphithéâtre.
Kevin actionne le malaxeur couplé au compresseur. Le coulis est ainsi injecté sous pression dans les canules ligaturées à chaque barre d’ancrage. Un peu plus tard, Arnaud grimpe sur la falaise bordant l’esplanade à l’ouest, pour sceller les 4 barres placées sur les rochers « en domino ».
Kevin actionne le malaxeur couplé au compresseur. Le coulis est ainsi injecté sous pression dans les canules ligaturées à chaque barre d’ancrage. Un peu plus tard, Arnaud grimpe sur la falaise bordant l’esplanade à l’ouest, pour sceller les 4 barres placées sur les rochers « en domino ».
Arnaud grimpe ensuite sur la portion de falaise surplombant la brèche des moines à l’ouest, pour y sceller deux barres d’ancrages.
Avant d’introduire la lance, la barre d’ancrage est légèrement tirée afin de permettre l’injection du coulis depuis le fond de l’orifice. L’injection achevée, le dispositif est remis en place à coup de marteau.
Arnaud grimpe ensuite tout en haut de la falaise tout en posant quelques scellements d’assurage, pour redescendre sur l’autre versant surplombant la fosse.
Il faut passer de l’autre côté de la brèche, côté est, où deux barres d’ancrage sont aussi à sceller.
Puis Arnaud monte au sommet de la falaise pour descendre au-dessus du cloître où il reste une quinzaine de barres à sceller.
Une trentaine de barres sont scellées dans la journée. Les têtes des barres dépassant trop seront coupées et les trous recouverts de maçonnerie.
Les Amis de Sainte-Victoire sont nombreux aujourd’hui, avec le retour des Martini, de Geneviève et Claudine
Marie-Danièle entretient les iris, Marc, Geneviève, Guy et Roger balaient les milliers de chatons des cèdres tombés à la suite d’un fort mistral.
Jean-Jacques, Pierre, Éric, Patrick et Sauveur achèvent la maçonnerie de la banquette longeant la chapelle.
Petit retour en arrière, la veille, mercredi 3 octobre : reconnaissance avant la montée des ânes
Afin de tenter de retrouver le chemin qu’empruntaient jadis les ânes et mules qui montaient au Prieuré, Marc a déjà organisé plusieurs montées des ânes (lien) notamment en 2014 et en 2016, en partenariat avec le Conseil Départemental.
Cette fois-ci il faut vérifier la faisabilité d’un parcours commençant à Bonfillons, descendant vers la retenue du barrage de Bimont actuellement presque complètement vidangé (c’est l’occasion ou jamais) traversant la Cause à sec pour remonter le vallon de Bimont et ensuite rejoindre les Costes Chaudes, à partir du haut du vallon des Nègres
Le spectacle est magnifique, les renouées persicaires sèches et rousses ont envahi la retenue à sec.
Il est à noter que sur notre itinéraire, nous rencontrons de nombreuses anciennes restanques, une bergerie, des charbonnières et des petites constructions en ruine car il y avait du monde autrefois sur ces lieux devenus sauvages.
Cette fois-ci il faut vérifier la faisabilité d’un parcours commençant à Bonfillons, descendant vers la retenue du barrage de Bimont actuellement presque complètement vidangé (c’est l’occasion ou jamais) traversant la Cause à sec pour remonter le vallon de Bimont et ensuite rejoindre les Costes Chaudes, à partir du haut du vallon des Nègres
Le spectacle est magnifique, les renouées persicaires sèches et rousses ont envahi la retenue à sec.
Il est à noter que sur notre itinéraire, nous rencontrons de nombreuses anciennes restanques, une bergerie, des charbonnières et des petites constructions en ruine car il y avait du monde autrefois sur ces lieux devenus sauvages.
Articles récents