Les réalisations de 2009 à 2015
Durant ces 6 années, de nombreux travaux furent réalisés en tous lieux du Prieuré. Certaines furent d’importance, comme la reprise de la calade, l’installation de toilettes sèches, la création d’un « amphithéâtre » etc.
- 2008-2009 – Le mur nord
Il existe bien, derrière la chapelle et en dessous du GR9, un mur de soutènement construit par nos anciens, mais il a été décidé de le surélever. C’est une considération à la fois esthétique et pratique. Nous pourrons ainsi transférer une partie des pierres et de la terre qui encombrent l’intérieur du Prieuré. Ce mur fait une cinquantaine de mètres de long, sur une épaisseur de 50 cm. Il sera surélevé de 50 centimètres.
Les maçons que sont Baudouin Roumens et Jean-Pierre Josserand apprécient particulièrement ce genre de travail. Ils sont aidés par une multitude de petites mains qui les alimentent en pierres et en ciment. Ils fabriquent les coffrages. Jean-Pierre fait tourner la bétonnière.
Les maçons que sont Baudouin Roumens et Jean-Pierre Josserand apprécient particulièrement ce genre de travail. Ils sont aidés par une multitude de petites mains qui les alimentent en pierres et en ciment. Ils fabriquent les coffrages. Jean-Pierre fait tourner la bétonnière.
- 2009-2010 – Les toilettes sèches
Nous avions jusqu’alors des toilettes dites ‘à la Turc’. Il fallait chaque jeudi faire fonctionner une chasse d’eau pour évacuer les matières. Un petit édicule renfermait à cet effet une cuve alimentée par l’eau venant du logis du prieur.
Il faut donc détruire l’édicule contenant la citerne pour la chasse d’eau des anciennes toilettes.
Il faut donc détruire l’édicule contenant la citerne pour la chasse d’eau des anciennes toilettes.
Les nouvelles toilettes seront installées derrière la chapelle, en contrebas du GR9.
A partir de 2009, nous creusons un grand trou, moitié dans la terre, moitié dans le rocher. Nous y avons transpiré, mais nous y avons eu également très froid. Quand le sol est gelé, les grands coups de masse font éclater le rocher aussi bien qu’en été. En revanche, les grands coups de pioche ne font qu’égratigner la terre. Ajoutez le mistral, que rien n’arrête. Heureusement la plupart du temps nous sommes assez nombreux. Le GR9 est barré et les randonneurs passent alors par l’intérieur du Prieuré.
A partir de 2009, nous creusons un grand trou, moitié dans la terre, moitié dans le rocher. Nous y avons transpiré, mais nous y avons eu également très froid. Quand le sol est gelé, les grands coups de masse font éclater le rocher aussi bien qu’en été. En revanche, les grands coups de pioche ne font qu’égratigner la terre. Ajoutez le mistral, que rien n’arrête. Heureusement la plupart du temps nous sommes assez nombreux. Le GR9 est barré et les randonneurs passent alors par l’intérieur du Prieuré.
Quand le trou est assez grand, l’entreprise AMAK revient pour construire une niche arrimée au rocher par des câbles en acier. C’est dans cette niche, que les toilettes sont un jour héliportées.
Ces toilettes comprennent deux compartiments.
L’étage supérieur est tout simplement celui des toilettes.
L’étage inférieur, ventilé, reçoit les matières : liquides et solides sont séparés par gravité, ce qui évite d’avoir de mauvaises odeurs. Des lombrics transforment les matières en engrais. Fin juillet 2010, nous pouvons offrir ce confort aux randonneurs. Il n’y a pas eu d’inauguration solennelle.
Il fallut aussi aménager l’accès et les abords des toilettes, construire un mur et planter des arbustes.
L’étage supérieur est tout simplement celui des toilettes.
L’étage inférieur, ventilé, reçoit les matières : liquides et solides sont séparés par gravité, ce qui évite d’avoir de mauvaises odeurs. Des lombrics transforment les matières en engrais. Fin juillet 2010, nous pouvons offrir ce confort aux randonneurs. Il n’y a pas eu d’inauguration solennelle.
Il fallut aussi aménager l’accès et les abords des toilettes, construire un mur et planter des arbustes.
- 2009 – Reprise des travaux de calade.
Ce travail de longue haleine a repris après les grands travaux ; ce sont maintenant Charly et Marie-Danièle Martini qui, en véritables spécialistes, poursuivent cette tâche, aidés par moments par de petites mains.
- 2009-2014 – Travaux dans l’aven
Les fouilles archéologiques et les pluies ont déstabilisé les terres dans l’aven. Les entreprises et les bénévoles interviennent à nouveau pour construire un blindage, construction en béton qui retient le remblai. Les travaux se poursuivent en 2010.
“L’habillage de pierres” de la poutre en béton a commencé en 2014 :
Ultérieurement, des éboulements envahissent la grotte avant le passage du garagaï. Nous dégageons la grotte en 2011.
En 2013, suite à de violents orages, il nous faut de nouveau dégager la grotte de ses alluvions :
La grotte est nettoyée mais il y a encore de grosses pierres que Marc Roussel et Alain Coulet dégagent.
- 2011-2015 – Dans la chapelle
Un éclairage électrique met en valeur le chœur tandis que de la musique invite au recueillement. Nous avons installé une sono pour diffuser des airs religieux en conformité avec l’esprit des lieux. Toute la câblerie électrique à été encastrée dans le sol ou les murs. L’énergie est fournie par des panneaux photovoltaïques installés sur le toit de la chapelle. Cette énergie, gratuite, alimente aussi le réseau éclairage que nous avons installé dans la cave.
En 2015, nous avons aussi déplacé des meubles et installé un présentoir-rangement qu’il a fallu monter sur des brancards.
En 2015, nous avons aussi déplacé des meubles et installé un présentoir-rangement qu’il a fallu monter sur des brancards.
Sur le grand buffet, la nappe a été changée, deux nouveaux présentoirs supportent les bulletins d’adhésion et autres dépliants